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Et si l’époque actuelle n’était pas une crise, mais un passage ?
Un appel silencieux à lâcher la résistance, à embrasser le changement au lieu de le combattre. Dans un monde en pleine mutation, accueillir devient un acte de conscience. Une manière d’habiter pleinement sa vie, malgré l’incertitude.
Et si l’époque que nous vivons était une invitation à cesser la résistance ? À dire oui au changement au lieu de le combattre ?
Nous traversons une époque singulière. Selon certains astrologues, les mouvements actuels que connaît la planète Terre seraient d’une rareté millénaire, marqués par des alignements célestes d’une puissance exceptionnelle.
Sans être spécialistes de l’astrologie, nombreux sont ceux qui perçoivent, au-delà des interprétations, un changement profond dans pratiquement toutes les sphères de l’existence.
Les saisons semblent désormais décalées, loin des repères connus autrefois. Dans les sociétés, les institutions comme l’école, la religion ou même la famille traditionnelle semblent chercher un nouveau souffle. La télévision a perdu de son autorité. Les enfants sont élevés avec une conscience différente : ils ne sont plus simplement éduqués, mais reconnus. Les parents, de leur côté, s’interrogent, cherchent de nouvelles façons d’accompagner.
Même les drogues n’ont plus le même attrait : elles inquiètent plus qu’elles ne séduisent.
La médecine, autrefois perçue comme une vérité absolue, s’ouvre à d’autres approches, dialoguant avec des disciplines comme les neurosciences. La spiritualité, elle aussi, trouve de nouveaux chemins d’expression.
Tout cela semble indiquer que l’humanité est appelée à ne plus résister, mais à accueillir.
Ce n’est pas une reddition, mais un signe de sagesse.
Le monde ne peut plus être abordé comme s’il était figé.
Se battre contre le changement reviendrait à nier la nature même de la vie, faite d’évolutions constantes.
Le changement invite à devenir pleinement conscient, à être acteur de sa propre transformation.
Alors, accueillir devient un choix conscient :
Accueillir les doutes, les peurs, les pertes de repères.
Accueillir ce monde nouveau qui cherche à émerger.
Et peut-être, en cessant de lutter, chacun pourra retrouver sa véritable puissance : celle de dire « oui » à ce qui est.